Le terme d’écosystème désigne l’unité de base de la nature. un écosystème est l’ensemble formé par une association ou communauté d’êtres vivants (ou biocénose) et son environnement
biologique, géologique, édaphique, hydrologique, climatique, etc. (le biotope). Les éléments constituant un écosystème développent
un réseau d’échange d’énergie et de matière permettant le maintien et le développement de la vie. Dans l’écosystème, le rôle
du sol est de fournir une diversité d’habitats, d’agir comme accumulateur, transformateur et milieu de transfert pour l’eau et les autres produits apportés.
Ecosystème urbain:
Il vit en état d’équilibre dynamique qui peut être perturbé
Par des facteurs économiques, sociopolitique ou par des évènements catastrophiques, et fonctionne selon les cycles métaboliques complexes (physiologie urbaine) dépendant des capacités de sources et des puits de l’environnement naturel à répondre à la demande, des facteurs organisationnels (intelligence urbaine) relevant de la qualité de sa gouvernance et des facteurs structurels( morphologie urbaine) liés à sa constitution physique et son état de santé.
Ainsi défini, l’écosystème urbain se caractérise par:
Ses dimensions spatiales: naturelles( hinterland ou bio-région, constituant un bassin de ressources divisé en greenfields et brownfields) et anthropique(territoriales comme aire urbaine), dont les définitions varient selon les législations
Ses dimensions temporelles: pour comprendre son évolution, il faut tenir compte de trois échelles: long terme(échelle stratégique,20-25ans ), moyen terme (échelle tactique, 10-15 ans), et court terme(échelle opérationnelle, en deux paliers2-5ans et 5-10 ans) .
Dimensions spatiales de l’écosystème urbain:
Planification urbaine:
Dimension anthropique:
a- Milieu économique:Bassin économique
(d’emploi, de production de chalandise d’influence bancaire directe de distribution du foncier de filiation d’entreprises de recrutement universitaire )au niveau d'une Aire urbaine Unité urbaine
b- Milieu social:Bassin de vie
(de migrations alternantes de consommation de services de communications de résidences etc ..) au niveau d'une région urbaine.
Élément de garantie de la qualité de vie dans un écosystème urbain:
dans le domaine environnemental:
1/NATUREL:
Ressources( sol, énergie, air, eau, faune, flore)
Rejets (solides, liquides)
Nuisances et pollutions (sonores, atmosphérique, hydrique)
Risques(naturels, technologiques, sanitaires)
Patrimoine naturel
2/URBAIN:
Cadre bâti( foncier, immobilier, équipements, infrastructures, réseaux divers)
Cadre non bâti( espaces verts et ouverts, espaces publics, servitudes)
Patrimoine culturel
Dans domaine économique:
Activités(agricoles, industrielles, tertiaires)
Services(transport, communication, assainissement, approvisionnement,
Vie économique
Domaine soci
COMPTE RENDU REUNION N°3 de Benjamin DURAND du 29 mai 2013ReaWeb 2.0
Pour rappel, les rencontres citoyennes couzonnaises sont des rencontres publiques, ouvertes et
transparentes permettant lee dialogue entre les citoyens.
Elles sont organisées sur le 1er semestre 2013, préalablement à la constitution de plusieurs listes
électorales partisanes et concurrentes le cas échéant.Une fois la constitution de listes démarrée,
notre tendance est de parler pour convaincre, mais peu pour écouter et construire.
Pour mémoire, 2 réunions précédentes en janvier et mars, pour la détermination des thèmes à traiter en
priorité, puis la jeunesse, petite enfance et associations. Prochaine réunion, jeudi 27 juin 20 h 30 sur la
gouvernance municipale et intercommunale.
Thèmes du jour : cadre de vie, économie locale, emploi,
logement / transport / écologie
Le terme d’écosystème désigne l’unité de base de la nature. un écosystème est l’ensemble formé par une association ou communauté d’êtres vivants (ou biocénose) et son environnement
biologique, géologique, édaphique, hydrologique, climatique, etc. (le biotope). Les éléments constituant un écosystème développent
un réseau d’échange d’énergie et de matière permettant le maintien et le développement de la vie. Dans l’écosystème, le rôle
du sol est de fournir une diversité d’habitats, d’agir comme accumulateur, transformateur et milieu de transfert pour l’eau et les autres produits apportés.
Ecosystème urbain:
Il vit en état d’équilibre dynamique qui peut être perturbé
Par des facteurs économiques, sociopolitique ou par des évènements catastrophiques, et fonctionne selon les cycles métaboliques complexes (physiologie urbaine) dépendant des capacités de sources et des puits de l’environnement naturel à répondre à la demande, des facteurs organisationnels (intelligence urbaine) relevant de la qualité de sa gouvernance et des facteurs structurels( morphologie urbaine) liés à sa constitution physique et son état de santé.
Ainsi défini, l’écosystème urbain se caractérise par:
Ses dimensions spatiales: naturelles( hinterland ou bio-région, constituant un bassin de ressources divisé en greenfields et brownfields) et anthropique(territoriales comme aire urbaine), dont les définitions varient selon les législations
Ses dimensions temporelles: pour comprendre son évolution, il faut tenir compte de trois échelles: long terme(échelle stratégique,20-25ans ), moyen terme (échelle tactique, 10-15 ans), et court terme(échelle opérationnelle, en deux paliers2-5ans et 5-10 ans) .
Dimensions spatiales de l’écosystème urbain:
Planification urbaine:
Dimension anthropique:
a- Milieu économique:Bassin économique
(d’emploi, de production de chalandise d’influence bancaire directe de distribution du foncier de filiation d’entreprises de recrutement universitaire )au niveau d'une Aire urbaine Unité urbaine
b- Milieu social:Bassin de vie
(de migrations alternantes de consommation de services de communications de résidences etc ..) au niveau d'une région urbaine.
Élément de garantie de la qualité de vie dans un écosystème urbain:
dans le domaine environnemental:
1/NATUREL:
Ressources( sol, énergie, air, eau, faune, flore)
Rejets (solides, liquides)
Nuisances et pollutions (sonores, atmosphérique, hydrique)
Risques(naturels, technologiques, sanitaires)
Patrimoine naturel
2/URBAIN:
Cadre bâti( foncier, immobilier, équipements, infrastructures, réseaux divers)
Cadre non bâti( espaces verts et ouverts, espaces publics, servitudes)
Patrimoine culturel
Dans domaine économique:
Activités(agricoles, industrielles, tertiaires)
Services(transport, communication, assainissement, approvisionnement,
Vie économique
Domaine soci
COMPTE RENDU REUNION N°3 de Benjamin DURAND du 29 mai 2013ReaWeb 2.0
Pour rappel, les rencontres citoyennes couzonnaises sont des rencontres publiques, ouvertes et
transparentes permettant lee dialogue entre les citoyens.
Elles sont organisées sur le 1er semestre 2013, préalablement à la constitution de plusieurs listes
électorales partisanes et concurrentes le cas échéant.Une fois la constitution de listes démarrée,
notre tendance est de parler pour convaincre, mais peu pour écouter et construire.
Pour mémoire, 2 réunions précédentes en janvier et mars, pour la détermination des thèmes à traiter en
priorité, puis la jeunesse, petite enfance et associations. Prochaine réunion, jeudi 27 juin 20 h 30 sur la
gouvernance municipale et intercommunale.
Thèmes du jour : cadre de vie, économie locale, emploi,
logement / transport / écologie
Le SCoT actuellement en vigueur a été approuvé en 2012. Au coeur de cette entreprise, les élus ont exprimé une vision à long terme pour construire un projet d'aménagement du territoire. Le SCoT s'appuie sur la capacité locale à nourrir un projet dépassant ses limites administratives et s'engage vers un réseau de collaborations tant à l'échelle du pays qu'à celle de l'Estuaire de la Seine.
Le SCoT actuel repose sur l'idée de la construction d'une métropole maritime internationale s'appuyant sur le territoire de l'Estuaire de la Seine. Les liens grandissants avec les territoires de l'Estuaire et l'apparition d'une dynamique autour de la Vallée de Seine amènent à repenser la stratégie territoriale. Il apparaît nécessaire de fixer les objectifs dans un document renouvelé et d'afficher auprès des partenaires une ligne d'ambition.
Dans ce document, vous trouverez des informations sur :
- Les grands défis du territoire du SCoT,
- L'animation du territoire du SCoT,
- Les documents du SCoT et de la charte paysagère et environnementale.
Exposition "Révision du Plan Local d'Urbanisme"Rouen
La Ville de Rouen s’engage dans une révision en profondeur de son Plan Local d'Urbanisme, la première depuis 2004.
Cette profonde refonte lui permet de développer différents axes de travail déclinés dans cette exposition : le logement, le dynamisme du commerce, la valorisation du tourisme, le développement d’activités tertiaires, la création d’emploi dans les quartiers en difficulté.
2.RAPPORT DE PRESENTATION
2.3. Justifications du projet, du dispositif réglementaire, et incidences du PLU sur l'environnement.
Pour tout savoir sur le PLU de Baie-Mahault (Guadeloupe), connectez-vous sur : http://www.urbanisme-baie-mahault.fr/
Qu'est-ce qu'un schéma d'aménagement et de développementVille de Laval
Qu’est-ce qu’un schéma d’aménagement et de développement? À quoi ça sert? Que contient le schéma d’aménagement d’une ville? Que doit-il respecter? Découvrez le lexique développé par la Ville de Laval pour vous expliquer ce document-clé dans le développement d’une ville. Informez-vous et participez à la démarche : www.RepensonsLaval.ca
1. Contribution de Décidons Notre Ville et Notre Ville
Développement proposé par Décidons des Verts
au projet de Plan Local d’Urbanisme
Cachan, septembre 2010
Décidons Notre Ville (DNV) et Les Verts défendent des positions communes pour construire la ville de
demain vers plus d’exigences environnementales afin de rendre Cachan encore plus attractive et
dynamique. Nous espérons que nos propositions seront étudiées avec intérêt car celles-ci sont le fruit d’une
étude approfondie et de nos convictions profondes.
« Pour une ville d’excellence environnementale, attractive et dynamique »
Nous ne pouvons que nous féliciter des axes proposés dans le PADD (Projet d’Aménagement et de Développement
Durable) : une ville en renouvellement, active et soucieuse de sa qualité de vie. Les termes de densification raisonnée,
de mixité sociale, de qualité de vie, d’énergies renouvelables, d’éco-quartiers, de tri des déchets, de limitation des
nuisances… sont des objectifs que nous défendons au quotidien.
Toutefois, nous regrettons un effet d’annonce et une avalanche de mots « tendance » qui, sans traduction
règlementaire, laisseront aux futurs promoteurs immobiliers la liberté de faire ou non de l’aménagement durable. La
municipalité se prive ainsi d’outils de maîtrise d’un développement territorial raisonné, durable et solidaire.
Il nous semble que le projet de règlement du PLU est insuffisant :
au regard du Grenelle 2 voté au début de l’été qui propose une panoplie d’outils à usage incitatif,
au regard du PADD qui énonce des principes directeurs non mis en œuvre dans le règlement,
en raison de la suppression totale du COS qui empêche la mise l’application de bonus environnementaux.
Nous demandons :
Une meilleure prise en compte des préconisations environnementales adoptées dans le Grenelle 2,
L’étude d’un ou de plusieurs éco-quartiers, comme annoncé dans le PADD, qui permettraient à notre ville de tendre
vers l’excellence environnementale,
Le rétablissement du COS sur certaines zones, pour inciter les habitants et les promoteurs immobiliers à utiliser la
mise en œuvre de bonus environnementaux, tout en imposant des limites de densification ne dépassant pas celles
préconisées par le PLU de Paris (à savoir un équivalent COS de 3)
Une révision profonde de l’article UH9 qui, tel que rédigé, conduit à la perte considérable de lumière pour les
constructions voisines et est en totale contradiction avec les choix des villes voisines qui proposent une décroissance
progressive des constructions en direction des fonds de parcelle,
Une mutation urbaine harmonieuse et progressive, notamment pour les ilots Vatier et du Docteur Hénouille en les
excluant de la zone UA,
Une meilleure protection de notre patrimoine architectural et paysager en complétant les documents graphiques,
Un engagement de la municipalité à adopter des critères environnementaux exigeants sur ses propres bâtiments
existants et sur les projets à venir.
2. Développement proposé par Décidons Notre Ville
« Pour une densification raisonnée »
La densification de la première couronne autour de Paris est certes un des objectifs du SDRIF et si Cachan comme
d’autres communes sont appelées à devenir en quelque sorte de nouveaux arrondissements périphériques de Paris, il
nous semble injustifiable que la densité conduise à un équivalent de Coefficient d’Occupation du Sol (COS) dépassant
3, valeur limite du PLU de Paris. C’est précisément ce que permet le projet de prescriptions réglementaires lorsque l’on
calcule des équivalents COS.
En conséquence, nous demandons, hors les zones UH, le plafonnement à 3 du COS (bonification maximale incluse) là où
il serait rétabli ou de l’équivalent COS calculé. Par ailleurs, si Décidons Notre Ville n’est pas contre la densification, nous
considérons que partout où elle est souhaitable, elle doit être accompagnée de critères environnementaux dans
l’esprit du PADD et du Grenelle 2 valorisant ainsi les constructions et la qualité de la vie à Cachan.
En ce qui concerne l’ensemble des règles de construction, le projet de PLU prévoit simultanément les modifications
suivantes par rapport aux règles du POS actuel :
Suppression des surfaces minimales constructibles,
Augmentation des hauteurs plafond de construction,
Augmentation du CES (coefficient d’emprise au sol),
Suppression du COS,
Réduction des espaces de pleine terre.
La combinaison de toutes ces règles conduit à une dérèglementation de la construction sans possibilité de régulation
et se traduit dans la plupart des zones par des équivalents COS supérieurs à Cachan au COS maximal applicable à Paris (à
savoir 3).
Nous proposons d’agir sur les critères suivants :
L’application des règles de prospect applicables à Paris (cf PLU de Paris) qui autorise une densité acceptable plutôt
que l’adoption de règles dont l’impact sur les constructions n’est pas mesuré,
Une meilleure prise en compte des emprises végétales (qui peuvent être au sol, sur les murs et toitures…) pour
compenser l’augmentation de la densité construite. Ce coefficient d’emprise végétale peut être associé à un
coefficient d’emprise au sol supérieur à 50 %.
L’obligation à fournir un diagnostic environnemental pour les projets soumis à permis de construire,
La suppression de l’exception de hauteur pour les équipements publics et le respect du plafond de hauteur de la
zone de façon à respecter les gabarits moyens et ainsi de préserver une harmonie urbaine. (Exemple : le projet du
PLU permet la création d’un bâtiment de 23 m dans une zone UD dont le plafond serait de 10 m. Cette règle se
traduira par une rupture d’échelle d’une sur-hauteur correspondant à 5 étages.)
3. Développement proposé par Décidons Notre Ville
« Pour une mutation urbaine harmonieuse »
Le PLU introduit par rapport au POS de 1999 des changements de délimitation de zones. Il s’agit notamment de
l’extension de la zone UH sur l’avenue Carnot et autour du pôle RER Arcueil-Cachan, de l’extension des zones UA au sud
(avenue de la Division Leclerc) et au nord (rue du Docteur Hénouille), du transfert en zone UCb des zones réservées
actuelles (ESTP + foyer de Cachan et ENS).
Nous nous inquiétons en particulier de la mutation brutale proposée pour l’ilot entre l’avenue du Général Leclerc et
l’avenue de Lattre de Tassigny actuellement composé d’un habitat pavillonnaire sans mitoyenneté et classé en zone
UEa que le projet de PLU définit comme zone UA de centre-ville dense, avec un plafond de hauteur de 23 m.
L’absence de transition fait courir le risque de gel de certaines parcelles dans l’attente de regroupements fonciers
rendant possibles des opérations immobilières à caractère spéculatif, avec tous les inconvénients de voisinage que
cela va créer pendant des années aux habitants n’ayant pas l’intention de vendre leur bien. Nous demandons que
cet ilot soit classé en zone UCd (au lieu de UA) pour favoriser une transition plus harmonieuse vers le futur.
Pour l’ilot du Docteur Hénouille, le maintien en zone UCc (au lieu de UA) permettrait de ménager une transition
paysagère du centre ville vers le Coteau.
« Des éco-quartiers à Cachan »
Les villes voisines créent des réserves foncières pour la constitution d’éco-quartiers. Nous proposons notamment que
les secteurs de l’ENS (en construction neuve) et de Cousté-Dolet (en réhabilitation) soient destinés à muter vers des
éco-quartiers (cf plan zones en annexe 1). Ces sites disposent en effet de potentiels forts qui se caractérisent par une
taille critique, une continuité immédiate avec le centre-ville, une desserte par les transports en commun (RER et bus) et
une proximité des équipements publics et des commerces.
Par ailleurs, la présence de la Bièvre au cœur du quartier Cousté-Dolet et son patrimoine architectural (blanchisseries)
permettent de définir un projet urbain d’éco-quartier mettant en valeur les richesses patrimoniales en relation avec
l’histoire de la ville.
Enfin, comme cela a été fortement souhaité par les habitants lors des ateliers de concertation sur le PLU, ces éco-
quartiers doivent offrir une mixité sociale tant culturelle que générationnelle. C’est l’équilibre de notre ville qui est en
jeu.
« Quels d’équipements publics pour demain ? »
Dans le projet de PLU proposé, nous regrettons l’absence d’analyse des besoins en équipements publics (écoles
notamment) et en promotion de commerces de proximité rendus nécessaires par une augmentation programmée de la
population.
Pour tous ces équipements publics, nous proposons que Cachan devienne une collectivité exemplaire dans ses
nouveaux projets de construction et de rénovation pour tendre vers des bâtiments à énergie passive.
4. Développement proposé par Décidons Notre Ville
« Vers une meilleure protection du patrimoine architectural et paysager »
Le projet de PLU nous semble insuffisant au regard de la protection du patrimoine architectural et paysager qui sont
des témoins de l’histoire de notre commune. Aussi nous proposons :
La reconnaissance et la protection des édifices inscrits dans la base MERIMEE (inventaire général au titre des
monuments historiques établi par le Ministère de la Culture) en vue de leur conservation et de leur valorisation,
L’identification et la préservation des sentiers existant dans l’environnement du Coteau et leur valorisation par des
aménagements pour inciter à une fréquentation accrue,
La création de circulations alternatives nouvelles et leur mise en réseau entre celui de Cachan et des villes voisines
(accès au parc des Hautes Bruyères de Villejuif via le passage pré-existant sous les 12 voies d’autoroute). Ces
circulations sont associées à des aménagements paysagers en particulier ceux du parcours sportif du bd de la Vanne
et des aqueducs (Loing-Lunain jusqu’à la RD 920 et de la Vanne jusqu’au RER Arcueil Cachan)
La prise en compte des espaces plantés actuels et la végétalisation des terrasses pour conserver la perception d’une
vallée verte en dépit de la densification. Nous proposons l’identification et le développement de corridors
écologiques, une meilleure gestion des eaux de sources (Fontaine couverte 7m3/h) et pluviales pour minimiser les
rejets dans le réseau d’égouts,
Le développement de la visibilité des eaux de la Bièvre dans la ville amorcée dans la ZAC Desmoulins,
La plantation d’arbres d’alignement structurant la forme urbaine associée au choix d’essences végétales indigènes
pour les espaces verts existants.
Pour connaître le détail de nos propositions, rendez-vous sur notre blog :
http://dnvblog.wordpress.com